
Ce jeudi 27 février, j’ai proposé de monter au sommet de Céüse avec ou sans raquette, avec ou sans crampons …
Nous sommes 16 à tenter l’aventure.
Le départ se situe un peu en dessous de la station de ski. Dès le départ nous longeons le téléski de la Sapié. En raquette ou en crampons. La progression est tranquille, la neige est excellente, si bonne que j’abandonne l’itinéraire que j’avais envisagé et qui passait par la Manche. Nous poursuivons, la trace est bonne, un groupe est juste passé avant nous. La pente est soutenue, les dévers sont légers. En une petite heure nous basculons sur le plateau, c’est le moment du petit ravitaillement traditionnel.




Le soleil est doux, le paysage est « Magnifique ! ». Le plateau est immense ; de vallon en vallon, nous finissons par apercevoir au loin le sommet d’où dévalent des skieurs.

Une heure plus tard, pas la peine d’aller plus loin, nous posons nos sacs en contre- bas d’un promontoire en face du sommet principal de Céuse, légèrement sous la bise.
Un pique nique copieux, suivi des traditionnels échanges de douceurs et pâtisseries.

Je choisis de redescendre par l’itinéraire de montée. Une première pente me permet de vérifier la capacité de chacun au retournement de la position assise à la position debout face à la pente : un petit moyen individuel pour contrôler une glissade. Ceci me permet d’agrémenter le retour de quelques passages ludiques, pentus. Pas la moindre glissade à dénombrer.


Des pauses qui s’éternisent, même le calcul du covoiturage ne pose pas de problème.

L’ambiance est légère, un échange sur emplacement d’un arbre remarquable. Conifère ? Hêtre ? Plus loin, plus haut, plus bas. Bernard nous permettra d’y accéder sans détour. C’est un conifère vieux de 350 ans, de 6 mètres de circonférence à la base … Chantal et Annie nous raconteront son histoire.

Un dernier échange de friandises et c’est le retour au voitures.
Une journée sans grande performance, mais remplie de bonne humeur.
Photos : Annie, Chantal, Roseline et Yvonne Texte : Christian

